Dès
leur conception, les emballage en verre sont prévus
pour résister :
• à l’ écrasement vertical, que
ce soit lors de la palettisation (il est courant de stoker
les palettes sur trois hauteurs) ou lors des opérations
de bouchage;
• aux choc sur les lignes de palettisation, puis de
conditionnement chez les clients;
• aux choc thermiques, lorsque l’embouteillage
s’effectue à chaux (certain produits sont introduits
dans les bouteilles à 75°C) ou lors des opérations
de pasteurisations;
• à la pression interne, des boissons carbonatées
notamment. A titre d’exemple, lors des contrôles
à la verrerie, les bouteilles champenoises résistent
généralement jusqu’à 35 à
40 bars de pression interne et la limite inférieure
admissible est de 25 bars. En utilisation, la pression ne
dépassera pas les 7 bars à la température
ambiante.
Les spécification techniques des cahiers de charges
intègrent les contraintes liées à l’utilisation
de l’emballage en verre et celui-ci est donc fabriqué
et contrôlé en conséquence.
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